Décrite en 1790 comme « consistant en rez-de-chaussée et un étage au-dessus couvert d’ardoises », la maison étudiée présente en 2020 un niveau d’élévation supplémentaire probablement rajouté au 19e siècle. La profession des occupants n’est pas précisée mais on apprend que de celle-ci dépendait également un grand jardin situé de l’autre côté de la rue comprenant une gloriette dans sa partie sud décrit ainsi : « un jardin fermé de murailles où est un pavillon ».
L’étude du cadastre de 1837 montre que la crèche visible aujourd’hui en retour du logis n’était pas encore bâtie à cette époque bien que la parcelle y soit signalée. On apprend également que la maison était occupée par un notaire et que de celle-ci dépendait toujours le jardin décrit plus haut (ce qui n’est plus le cas en 2020).
Chargée d'études à l'Inventaire