Logis et chapelle construits au 17e siècle. L'ensemble est en cours de restauration.
Les textes des réformations (recensements de la noblesse) citent l'hébergement des Greffins, appartenant à Jehanne Houes, et sa métairie où demeure Perrot Monlouis, en 1427 ; à Gilles Couldebouc et sa femme, en 1440 ; "Hegreffin" à François Couldebouc, en 1536.
(M. -D. Menant)
Famille Couldebouc, seigneur des Greffins.