La blandierie de la Crôlée a aujourd'hui disparu. Sur le cadastre ancien, elle comprend deux doués alimentés par une source. Un acte notarié daté 1760 cite ces doués avec leur fontaine et leurs "étendouers", à savoir les prés sur lesquels sont mis à sécher les toiles. Les deux bâtiments cités dans l'acte, "une maison couverte en paille" et "une petite étable" semblent figurés sur le cadastre. A cet ensemble, il faut peut-être rattacher un autre bâtiment plus grand, situé sur une parcelle plus au sud (1440).
Le lieu-dit de la blandierie se retrouve sous plusieurs appellations : La Crôlée, La Crollée, La Craulée (cadastre ancien).