Parmi 378 maisons et des fermes recensées dans le cadre de l'inventaire des ouvrages bâtis avant le milieu du 20e siècle, 214 ouvrages ne sont pas documentés mais font l'objet d'une cartographie précise, visualisable à l'aide du système d'information géographique Géoviewer. [Voir le mode d'emploi du logiciel dans le menu de démarrage.]
Il s'agit d'oeuvres fortement remaniées ou rénovées dont l'analyse est devenue difficile, même si leur ancienneté est parfois indéniable. Le cas échéant, une consultation du cadastre ancien peut apporter une indication intéressante [le tableau d'assemblage du cadastre ancien peut-être superposé au cadastre moderne dans le système d'information géographique. Cependant, il convient d'être prudent dans l'interprétation des données superposées sur le plan, en effet celui présente dans la réalité des décalages notables de plus d'une dizaine de mètres dus pour l'essentiel à l'imperfection des moyens des géomètres au tout début du 19e siècle].
La carte annexée permet de distinguer ces ouvrages (en bleu) des ouvrages documentés par un dossier individuel (en vert).
A titre de comparaison, le pré-inventaire sélectif réalisé en 1975 couvrant les ouvrages antérieurs à la fin du 19e siècle offrait une documentation sur 51 ouvrages repérés. Il comptait néanmoins 12 ouvrages non recensés en 2001 car trop profondément modifiés ou même détruits dans l'intervalle : au Chêne Neveu, à la Boucaudais, à la Petite Boucaudais, à la Gentilhommière, à la Basse Mévrais [une cheminée portait la date 1765], à la Mézière, au Paradis, au Pontillet, au Sabot d'Or, au Pas du loup, à la Chauvinais et à Riquenon.
