Jusqu'au milieu du 20e siècle, le village a pour l'essentiel conservé la structure figurée sur le premier cadastre de 1810 : un dessin en étoile formant au pied de l'église un carrefour de voies de communication. Toutefois peu d'édifices antérieurs au début du 19e siècle sont parvenus inchangés jusqu'à nous : par exemples, le prieuré, les maisons de la Vicomté ou de la Barrière, cités par Paul Banéat dans Le Département d'Ille-et-Vilaine, histoire, archéologie, monuments, sont détruits ou totalement restructurés. Jusqu'aux développements contemporains de lotissements, en éventail, dans la partie sud de l'agglomération entre les voies de communication, les accroissements modernes s'élevaient dans le principal axe ouest-est de l'ancienne route nationale de Brest à Paris.