Porche à trois travées dont une plus grande. Sa profondeur est de 2m70 environ et les écarts entre les trois poteaux de gauche (face à la façade) sont de 3m. L'écart avec le poteau cornier de droite est de 4m.

Les deux poteaux centraux sont décorés sur leurs quatre faces de triglyphes imitant un décor architectural antique et d'écussons lisses, semblable aux décors des n°10 et 12 de la rue d'Anjou. Les poteaux corniers sont décorés seulement sur trois faces.

Sur une carte postale de la fin du 19e s. - début du 20e s., la façade est enduite mais l'on distingue à l'étage des pigeâtres sculptés qui n'existent plus aujourd'hui. Le porche se prolongeait jusqu'au 10 rue d'Anjou par une partie en pan de bois disparue.

La façade actuelle est recouverte d'une enduit ciment peint de faux colombages.

(F. Gosselin - Inventaire thématique, 2019)

A l'instar de ses voisines, cette maison est construite en moellon de microdiorite de quartz en partie postérieure alors que la partie antérieure, au dessus du porche est en pan de bois.

(S. Ménard, S. Dalibard - Inventaire préliminaire, 2004)