Le hameau de Trégu est cité par Marteville et Varin, continuateurs de Jean-Baptiste Ogée, comme l'un des principaux écarts de la commune au milieu du 19e siècle. Il demeure aujourd'hui l'une des plus importantes parties agglomérées avec les villages de Couédouan et de la Vieille Ville et du Gué. La disposition du bâti a très peu changé depuis 1823 (date du premier cadastre) malgré le percement de la route départementale. On y trouvait, paraît-il, la meilleure famille de maçon de la commune. Trente-cinq ouvrages y ont été identifiés comme étant antérieurs à 1940 (limite chronologique du présent recensement). Quatorze seulement présentent un état de conservation satisfaisant motivant l'ouverture d'un dossier individuel.