Paul Banéat, dans son ouvrage sur le département d'Ille-et-Vilaine, décrit le bourg de Saint-Ouen-la-Rouërie.
Dans le bourg, le prieuré de Combourg possédait au 17e siècle une maison qui avait été conventuelle ; il avait un droit de haute justice.
On y trouvait également le Logis de Sesmaisons, qui était Tuffin au 17e et au 18e siècles, et le le Logis de la Vigne dont le pignon ouest était muni de meurtrières : ce dernier, reconstruit après la révolutions, conserve d'anciennes pierres ouvragées. la Vigne était aux Tuffin en 1670. on trouvait aussi autrefois la Grande Auberge et la Maison de l'Ecu.
Le relevé du cadastre napoléonien en 1823 figure un bourg ecclésial, c'est-à-dire que le bourg ses développe autour de l'église, quelques constructions se trouvent sur des axes formant une étoile autour du bourg. On trouve ainsi deux anciens manoirs porches du bourg, au nord de celui-ci : la Brébinière et le Bauchais.
Le bourg s'est largement développé dans la seconde moitié du 19e siècle avec beaucoup de maisons construites ou reconstruites autour de la place centrale de Saint-Ouen- le-Rouërie. C'est également à cette époque que l'église est reconstruite et que la mairie et les écoles sont construites.