Ferme édifiée dans la 1ère moitié du 17e siècle. La grange est contemporaine du logis, mais sa toiture sans doute initialement en chaume a été changée pour de l'acier à la fin du 20e siècle. Un nouveau logis est construit en prolongement du premier en 1904. Le puits date de la même époque.
- inventaire topographique, Pluméliau
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Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Baud - Baud
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Commune
Pluméliau-Bieuzy
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Lieu-dit
Pluméliau,
Kerhoret
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Cadastre
1967
XW 126, 172
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Précisions
commune fusionnée après inventaire Commune inventoriée sous le nom de Pluméliau
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Dénominationsferme
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Parties constituantes non étudiéesgrange, puits
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Période(s)
- Principale : 1ère moitié 17e siècle
- Principale : 1er quart 20e siècle
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Dates
- 1904, porte la date
Ferme constituée en alignement. Le premier logis est en pierre de taille à étage carré, couvert d'une toiture à pignon découvert. L'étage est accessible par un escalier droit en pierre et par un escalier en vis logé dans la tour d'escalier postrérieure. En pignon ouest, une porte bouchée et les pans de mur obliques démontre l'existence d'une partie disparue. En alignement à l'est, le nouveau logis est en moellon de granite, de type ternaire. La grange isolée est en pierre de taille, aujourd'hui couverte d'acier peint. En retour du premier logis, dépendance en ruine avec tour d'escalier antérieure en demi-hors-oeuvre. Puits en pierre de taille à boules.
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Murs
- granite
- pierre de taille
- moellon
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Toitsardoise
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Étages1 étage carré, comble à surcroît
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans
- pignon découvert
- pignon couvert
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Escaliers
- escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
- escalier demi-hors-oeuvre : escalier en vis sans jour
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Typologieslogis à fonctions multiples superposées ; logis de type ternaire ; puits morbihannais
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Statut de la propriétépropriété privée
Le logis du 17e siècle appelle quelques remarques. Il s'agit d'un logis sur dépendance, la fenêtre du rez-de-chaussée qui rendait le rez-de-chaussée habitable ayant été ouverte vers 1800 à la place d'un jour. L'étage habitable est curieusement desservi par deux escaliers, le premier extérieur adossé à la façade, le second dans une tourelle demi-hors-oeuvre sur la façade postérieure ; l'absence de visite intérieure du bâtiment ne permet pas d'éclairer cette double desserte. On note une reprise à l'ouest de la tour d'escalier, qui pourrait correspondre à une reprise de maçonnerie lors de la destruction de la partie ouest. Le bâtiment est amputé de sa partie ouest dont il ne reste que deux pans de mur, cette partie desservie par une porte en pignon ouest au rez-de-chaussée, aujourd'hui bouchée. En retour de ce premier logis, la fonction d'origine du bâtiment sans étage avec tour d'escalier antérieure, en ruines, est indéterminée.
- (c) Inventaire général, ADAGP
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- (c) Inventaire général, ADAGP
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Chargée d'études Inventaire
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