La croix qui ne figure pas sur le plan cadastral de 1837 est édifiée en 1836, date portée sur le socle accompagnée d'une inscription non déchiffrée qui semble rédigée en lettres gothiques : Le Tallec émet l'hypothèse qu'il s'agirait de l'ancienne croix du cimetière qui aurait été déplacée en 1858 lors de son remplacement par une nouvelle croix ; la date de 1836 qui correspond pourtant au style du soubassement serait selon lui une date de restauration. Le fût et le croisillon détruits lors des combats de 1944 ont été refaits en 1950 par Alphonse Le Gouase de Saint-Hilaire en Pluméliau, le granite provenant d'une carrière de ce lieu. Une partie de l'ancien fût portant les pieds du Christ a été remployée dans la croix de Kerantreh (voir dossier du chantier ostréicole).