En 1837, la commune comptait 21 moulins répartis sur 17 sites. Parmi eux, onze se situent sur la rivière de la Penzé, au sud-ouest, cinq sur la rivière de Coat Toulzac´h ou un de ces affluents, à l´ouest, trois sur la rivière du Queffleuth qui forme la limite est de la commune, trois en lien avec l´abbaye cistercienne (deux à la Chaussée et un au Relec) et un dernier dépendant du manoir de Coatlosquet. Sun seul site pouvait compter plusieurs moulins (Drolac´h, moulin Manac´h, Roz ar Hoat). En 1880, on prévoit près de Quilliou Ménez un « un barrage et une roue à blé » pour Pierre Nicolas, meunier, mais le projet ne fut pas réalisé. Toutes les installations ont cessé leur activité avant le milieu du 20e siècle. Rares sont les édifices qui ont gardé une partie de leur équipement (chute d´eau, mécanisme) comme, par exemple, les moulins de Coatlosquet et du Relec. La plupart ont été transformés en habitation, comme Traon Milin, Coatlosquet, la Chaussée (deux moulins), moulin Manac´h (un des deux moulins), Quilliou Dour, le Ster et le Taros. Les moulins du Runiou, Pont Pencoat, Moulin Manac´h, Kerhor, Roz Coat, Le Baillaou, Drolac´h et Pont ar Farde ont disparu. Des ruines subsistent à Moulin Alan et Roz ar Hoat.