Selon l'ouvrage de Paul Banéat, la maison de la Sablonnière, qui tire son nom d'une ancienne carrière de sable, appartenait aux enfants de Michel de la Grée du Haut-Bourgneuf, en 1683 et passa par alliance, à la fin du 17e siècle, aux Ernault de Landeneuf, puis au receveur des fouages de Saint-malo, Jean de Gennes. Elle fut vendue aux Maugé, en 1733, puis à un conseiller au Parlement, Henri-Claude Le Chat de Vernée, en 1737, enfin, en 1772, à Hilarion-Eléonor de Forsanz du Houx. L'acte notarié de 1683 atteste la présence d'un grand portail de pierre en vouste et d'une remise de carrosse, enfin d'une orangerie, d'une charmille, d'une allée de boule et d'une tonnelle, d'un cabinet au coin du jardin et d'un vivier, visible sur le cadastre de 1842.