A l'époque des moulins à vent et à eau succède, au 19e siècle, l'ère des minoteries, équipées de machines à vapeur au début, puis de moteurs électriques. De stature imposante, comme tous les bâtiments de ce type, la minoterie Robert s'élève sur plusieurs niveaux. Elle jouit alors d'une activité importante, favorisée par la proximité du canal. Près de dix ouvriers travaillaient à temps complet toute l'année. Cette minoterie fut détruite par un incendie, vers 1938. Les bâtiments sinistrés furent rénovés pour y entreposer du grain, des engrais, et des produits du sol.