Edifice de plan rectangulaire présentant un pignon en façade. Maçonnerie enduite avec encadrements de baies en bois ; cheminée sur mur gouttereau. Toit à croupe ; couverture en ardoise.

Le porche, encore en élévation en 1836, étendait l'emprise de la maison sur la voie publique. Cette architecture à vocation commerciale rappelle avec le 10 rue des Dames qui conserve encore son porche, tout l'importance de cette rue qui relie l'église et son parvis à la place où se trouvaient les halles et toute une autre rangée de maisons à porches (actuelle place André Ferré).

Sur le cadastre napoléonien, la parcelle du 13 rue des Dames est rattachée à sa voisine. Cet édifice, actuellement associée au n°15 rue des Dames, présente un premier étage recouvert d'un faux pan de bois. A l'alignement du n°13, il est possible qu'il ait été lui aussi pourvu d'un porche, détruit avant la première moitié du 19e siècle.