Sainte Suzanne de Rome porte souvent l’épée de son martyre : elle fut décapitée au 3e siècle pour avoir refusé de renoncer à sa foi chrétienne. Ici, faute d’attribut, on a jugé utile d’inscrire son nom sur un phylactère.
La fluidité des plis du manteau, la recherche dans la coiffure et l’expressivité de l’œuvre orientent la datation vers le 16e siècle.
(M. -D. Menant)
Photographe à l'Inventaire