• inventaire topographique, Inventaire du patrimoine matériel et immatériel de l'archipel des Glénan
  • enquête thématique régionale, Inventaire des fortifications littorales 1830-1870 dans les îles de Bretagne Sud
Fort de l'île Cigogne (Archipel des Glénan)
Œuvre étudiée

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Bretagne Sud - Fouesnant
  • Hydrographies
  • Commune Fouesnant
  • Lieu-dit Archipel des Glénan île Cigogne
  • Dénominations
    fort, batterie
  • Précision dénomination
    fort à la mer
  • Destinations
    fort
  • Parties constituantes étudiées
  • Parties constituantes non étudiées
    batterie, casemate, caserne, corps de garde, mur défensif, tour, poudrière, latrine

Les incursions de navires britanniques, de corsaires dans l'archipel, incitent les autorités à envisager la construction d'un fort sur l'île Cigogne. Plusieurs projets de construction de fort sur l'île Cigogne ont été élaborés dès 1745 : le projet Marolles en 1745, puis les projets Frézier et de la Sauvagère en 1755. Ce projet de construction commencé, on le jugea trop onéreux et un autre plan signé de Larcher en 1765, modifia les travaux en une batterie circulaire. En 1793 un plan du fort est dressé, signé par Pradere et contresigné par le sous-directeur des Fortifications à Brest, Barazer. On retrouve un plan réalisé par Moulat du fort Cigogne en 1799. Et enfin, celui du 20 octobre 1817, signé par Constantin, directeur des Fortifications, présente les agencements intérieurs du fort. La totalité du projet de construction aura demandé une soixantaine d'années et n'a pas été complètement réalisé puisque le bastion protégeant l'entrée n'a pas été construit. Pour terminer le fort Cigogne, de nouveaux projets voient le jour en 1857/58 par le capitaine du génie en chef Rousseau qui établit un plan d'un renforcement des fortifications dans la partie nord-est du fort.

La "Commission mixte d'armement des côtes de la France, de la Corse et des îles" de 1841 conserve le fort Cigogne et lui attribue un armement de quatre canons de 30 livres servis par 20 hommes. Cet armement est ultérieurement augmenté d'un mortier de 32 cm. A la différence de la commission de 1818 qui voulait renforcer le fort et porter sa garnison à 120-150 hommes, la commission de 1841 se contente de préconiser des améliorations sur l'enceinte, sur le front sud-ouest en particulier. Les chapes des casemates sont refaites en 1843-1845. Un premier projet d'amélioration de l'enceinte est proposé en 1847, sans suite. Un nouveau projet est proposé en 1857 suite aux préconisations de l'inspecteur général, consistant en l'aménagement de batteries sur les fronts ouest et est du fort, l'amélioration de l'enceinte au nord et au sud-ouest et la construction d'une bretèche pour flanquer la porte. Les travaux commencent en 1858 et sont achevés en 1860. La couche d'enduit bitumineux actuellement présente dans la plupart des casemates a pu être appliquée également à cette occasion, à moins qu'elle ne date des travaux du milieu des années 1840. Les plates-formes des quatre canons et du mortier sont construites au cours des années 1860. Deux canons de 30 livres sont toujours en place en 1876, mais à cette date le fort n'est pas conservé par la Commission de défense des côtes. (Patrick Jadé 2017)

En 1889 le fort est déclassé. Le 11 juillet 1891, ont été remis officiellement, par le Département de la Guerre au Département de l'Instruction Publique, des locaux et terrains du Fort Cigogne qui avaient été concédés temporairement au préalable pour l'agrandissement du laboratoire de zoologie et physiologie maritimes de Concarneau.

En 1904/1905 un accord est conclu entre le Ministère de l'instruction publique et des Beaux-Arts et des Cultes à Monsieur le Ministre de la Marine pour l'installation d'un observatoire océanographique et météorologique dans une partie du fort Cigogne. Ce poste d'observation est installé en vue de l'étude des migrations de la sardine. M. Béatrix, représentant du Ministère, faisant fonction de préparateur au laboratoire de zoologie et physiologie maritimes de Concarneau est en charge du suivi du poste. L'emplacement du poste se trouve situé sur la plateforme du fort, au-dessus de la porte d'entrée à la place occupée autrefois par les circulaires des canons. Un gardien parmi l'une des familles de pêcheur qui habitent sur les îles y est attaché.

La tour sur la partie sud-ouest a été construite en 1911 et sert d'amer. Erigée par la marine nationale, elle sert de repère, pour des essais de vitesse des cuirassés, entre l'île de Groix et l'archipel des Glénan.

En 1957, les bâtiments du « Fort de l’Ile Cigogne » et ses dépendances sont loués par l'école de voile des Glénans, au Collège de France (dont le laboratoire de zoologie et physiologie maritimes de Concarneau dépend) suivant un bail de 18 ans. Ce même bail est renouvelé en 1975 puis en 1993 pour cette fois-là une période de 25 ans. La location du fort ne fut pas facile à obtenir, du fait de l’occupation des locaux par des pêcheurs travaillant avec les établissements Prunier. Il fut convenu que les pêcheurs pouvaient occuper le fort jusqu’à l’arrêt de leur activité.

Les baux mentionnent qu’en raison d’une servitude d’utilité publique frappant depuis 1911 les bâtiments du fort, le personnel de la Marine pourrait accéder […] à l’amer situé sur les super-structures du bastion sud-ouest ».

Le bail mentionne que le centre nautique s’engage à « loger gratuitement le charbon et le pétrole du bateau servant au laboratoire zoologique de Concarneau ».

Les membres de l’école de voile cohabitent avec sept pêcheurs de crustacés (crabes, homards, langoustes), qui logent dans les casemates en semaine et vendent leur pêche au vivier de Saint Nicolas ou aux mareyeurs de la côte.

Le dernier pêcheur de fort Cigogne, Pierre Nédelec, de Larvor, en Loctudy, installé depuis 1939, quitte l’archipel en 1974. Il transmet de nombreuses connaissances maritimes aux stagiaires.

Les stages à Cigogne sont alors consacrés à l’initiation à la croisière et au pilotage

Dans les années 50, les stages sur Cigogne jouissent d’un certain prestige car ils sont réservés aux barreurs expérimentés. Les navigations se font sur des Corsaires et des Choses. Si Penfret et Drenec sont « des écoles de voile », alors Cigogne est « une école de mer ». Le lieu sert aussi d'hivernage pour les bateaux. Au début des années 2000 les stages à Cigogne, alors réservés aux seuls « croisiéristes », s’ouvrent au perfectionnement en voile légère. Les stages d'initiation à la croisière sont réalisés à bord des Glénans 5-7 et Folavoahl.

Ces informations proviennent du document : Prorogation du Bail de Fort Cigogne et ses dépendances Ile de Glénan, dépendant de la commune de Fouesnant, Quimper, 30 aout 1993. Archives des Glénans, Paris.

Le fort est classé au titre des Monuments Historiques depuis le 14 février 2013.

Le fort Cigogne est construit en granite. C'est une "combinaison habile de deux batteries curvilignes imbriquées par des contre-courbes casematées, offrant ainsi quatre faces convexes vers l'extérieur. Le front principal, à l'est, est composé d'une série de douze casemates en éventail" (cf. Les Fortifications de Bretagne Sud, ouvrage collectif sous la direction de Nicolas Faucherre, Philippe Prost, Alain Chazette, éd. Patrimoine et Médias, Niort, 1998.).

La description écrite par Martine Nicolas, chargée d'études documentaires à la DRAC ( Direction Régionale des affaires culturelles), au sujet du fort Cigogne pour l'instruction du dossier en vue d'un classement au titre des monuments historiques, reprend les détails architecturaux du fort : "La porte, autrefois précédée d'un pont-levis à bascule aujourd'hui disparu, est inscrite dans une courbe profonde au centre de ce front haut de 7 mètres flanqué de deux saillants. Elle est surmontée d'une bretèche supportée par quatre consoles à ressauts en quart de ronds ; son encadrement est appareillé en pierre de taille de granite et accosté de deux contreforts latéraux dans le même appareil. Les fronts latéraux sont élevés de 4 mètres, cette moindre hauteur étant compensée par un fossé ponctuel taillé dans le roc. Les courtines qui n'ont pu, par défaut, être remplies de terre sont soutenues par de simples contreforts. Une tour circulaire au sud-est contient les latrines."

Sur les plans, un bastion protégeant l'entrée est dessiné mais n'aura jamais été construit. L'entrée donne sur la place d'armes qui est entourée de casemates. Des batteries sont déployées à l'est et au nord-est ainsi qu'au nord-ouest et au sud. Le fort dans sa forme circulaire renferme du nord au sud : un hôpital, une citerne, le logement du commandant, le logement du gardien, la caserne, le corps de garde, les magasins, la prison, le cachot, le magasin à poudre, le logement d'officier et la boulangerie.

Les résultats des travaux des années 1858-1860 sont visibles sur tout le front est du fort, ainsi que sur le rempart nord-ouest et au niveau de la porte. Le mur de clôture sud-est et une petite portion du mur nord reçoivent un parapet d'infanterie avec banquette de tir en gradins reposant sur des arcs tendus entre les contreforts. L'accès au chemin de ronde sud-est se fait via un escalier à deux volées soutenu par trois arcs en maçonnerie. Les banquettes en terre éventuellement aménagées dans les orillons nord et sud du front est ne sont plus visibles. La porte du fort est surmontée d'une bretèche percée de trois créneaux de tir frontaux et trois créneaux pour le tir fichant. Deux emplacements d'artillerie sont aménagés sur le rempart ouest. Le massif terrassé du front est du fort est remanié pour permettre l'installation d'un épaulement pour deux canons de côte et d'une plate-forme pour mortier, avec rampe d'accès. (Patrick Jadé 2017)

La présence de vestiges de plots de support de poteaux pour hamacs et de crochets dans certaines casemates témoigne des aménagements liés au casernement au milieu du 19e siècle. La couche d'enduit bitumineux présente dans la plupart des casemates et bâtiments du fort est très similaire à ce qui peut se trouver dans les autres constructions militaires du littoral à la même époque, et pourrait dater des travaux des années 1840 ou 1850. (Patrick Jadé 2017)

L'île de Fort Cigogne est sur la parcelle figurant au cadastre section n° 36, contenance 1 ha 32 à 36 ca.

Les aménagements effectués par l'école de voile des Glénan à leur arrivée en 1957 ont transformé l'hôpital en maison des officiers, le logement des commandants, le logement du gardien en dortoir et les casernes en dortoir et réfectoire, le corps de garde en atelier voilerie, le magasin en réfectoire, la prison en cuisine, le cachot en réserve de la cuisine, le magasin à poudre en bar, le magasin en réserve, le logement de l'officier en réserve, et la boulangerie en dortoir. Le bâtiment de quart, situé sur le rempart nord-ouest, est édifié par les Allemands pendant l’Occupation.

La remise en état du fort a été réalisée par quelques membres du centre nautique aidés des frères Barzic, maçons à Concarneau, des chefs de bord du club et de Jean Laurent, charpentier de marine. Parmi les travaux effectués, le pont-levis est comblé, le sol est cimenté, une dératisation est réalisée, les détritus accumulés dans la cour sont brûlés, le percement d’ouvertures dans les murailles de la cuisine, la soute aux poudres (transformée en bar) et la boulangerie (transformée en dortoir et en hangar à bateaux l’hiver) sont réalisés, l’hôpital en ruine est transformé en « Maison des officiers », avec un étage (la charpente et le plancher sont en bois), la citerne est récurée et étanchéifiée (citerne achevée en 1811, pouvant contenir 288 000 litres), la pose de portes et fenêtres remplaçant planches et carton est effectuée. Les murs, d’1m50 de largeur, sont constitués de deux parements de pierres entre lesquels sont disposés non pas de la terre, comme dans les habitations traditionnelles, mais de gros cailloux, tenus par de la chaux.

La tour-amer (construction 1911) est repeinte en blanc avec une bande noire dans sa partie supérieure, juste avant la location par le centre nautique. Elle n’a pas été aménagée par l’école de voile en raison du coût de construction de l’escalier et de la faible surface habitable des étages. Les barreaux d’échelle permettant d’y monter ont été coupés, afin de limiter l’accès aux stagiaires.

En 1958, les cuisines sont aménagées et l'aire de la réfection d'eau est achevée. Une nouvelle salle à manger est aménagée.

En 1964 de nouvelles installations et améliorations sont réalisées dans les dortoirs, la cuisine, le garde-manger, la salle du rez-de-chaussée.

En 1966, la voilerie est aménagée et un an plus tard la cale est agrandie.

En 1968 le plafond de la poudrière est colmaté.

En 1969, le téléphone est installé.

Pour célébrer le bicentenaire de la révolution française, en 1989, un noeud papillon tricolore géant a été installé autour de la tour.

Au début des années 2010 : suite à la protestation d’usagers du plan d’eau de l’Archipel, les latrines situées dans la tourelle de l’angle sud-est du fort, nommées « marémotrices », sont murées. Elles sont remplacées par des

Cunégondes (cabane en bois à toilette).

  • Murs
    • granite pierre de taille
    • granite moellon
    • terre
  • Toits
    granite en couverture
  • Couvrements
    • voûte en berceau
  • Couvertures
    • terrasse
  • Escaliers
  • État de conservation
    état moyen
  • Mesures
  • Précision dimensions

    Le fort est situé sur la parcelle n° 36 sur l'archipel des Glénan à Fouesnant, d'une contenance de 1ha 32 a 16 ca. Aucun plan n'indique les mesures.

  • Statut de la propriété
    propriété d'un établissement public de l'Etat, Conservatoire du Littoral et des rivages lacustres
  • Intérêt de l'œuvre
    vestiges de guerre
  • Éléments remarquables
    fort
  • Sites de protection
    zone de protection, site classé, loi littoral, zone naturelle d'intérêt écologique faunistique et floristique
  • Protections
    classé MH, 2013/02/14
  • Référence MH

"Le fort de l'île Cigogne est une construction défensive singulière et esthétique par l'imbrication des profils convexes et concaves des éléments qui le composent. Son inutilité avérée a conduit à son maintien en état d'inachèvement, sans qu'aucune de ses dispositions architecturales n'évoluent en vue d'adaptations stratégiques. L'unique modification apportée est l'ajout de la "tour-amer" sur le saillant sud-est. " Propos de Martine Nicolas, chargée d'études documentaires à la DRAC de Bretagne.

Documents d'archives

  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives de l'Artillerie ; Sous-série 3 W, Opérations militaires : 3 W 32, Documents concernant le 3e arrondissement maritime (Lorient). Projet d'armement des côtes de la France, de la Corse et des îles. Titre III : Projet d'armement des côtes du 3e arrondissement maritime (Lorient), 1841-1843.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 3 W 32
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 42, Travail de la commission d'armement des côtes sur les frontières maritimes, 1844. Avis du Comité des fortifications du 7 novembre 1844.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 42
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 577. Commission de défense des côtes : tableau faisant connaître le nombre, l'armement et le classement des batteries de côtes des 1er (Cherbourg), 2e (Brest), 3e (Lorient), 4e (Rochefort) et 5e (Toulon) arrondissements maritimes, de la Corse, de l'Algérie et des colonies, 1860-1862.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 577
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 644, Place de Concarneau, projets et dépenses annuels, 1855-1876. Direction du Génie de Brest, Place de Concarneau, Mémoire du chef du Génie sur les projets pour 1858, 30 décembre 1857.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 644
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 644, Place de Concarneau, projets et dépenses annuels, 1855-1876. Direction du Génie de Brest, Place de Concarneau, Mémoire du chef du Génie sur les projets pour 1859-1860, 30 janvier 1859.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 644
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 584, Registre des avis du Comité des fortifications sur le crédit général pour la défense des côtes, 1858-1867. Séance du 25 février 1858, Place de Concarneau.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 584
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 41, Mémoires généraux sur les frontières maritimes, 1853-1885. Rapport sur la situation des travaux de défense des côtes à la fin de l'exercice 1861.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 41
  • Service historique de la Défense, Département Armée de Terre, Vincennes. Archives de la Guerre, Troisième République ; Sous-série 7 N, État-major de l'Armée : 7 N 1881, Commission de défense des côtes, délibérations et correspondance expédiée, 1870-1878. État des batteries déclassées dans les 2e et 5e arrondissements maritimes dont le désarmement immédiat serait sans inconvénient pour la défense du littoral, 28 septembre 1876.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 7 N 1881

Bibliographie

  • Petite histoire de l'archipel des Glénans, M. Villiers du Terrage, Extrait de la revue L'association bretonne d'Archéologie et d'agriculture, session de Concarneau, troisième série, tome XXIV, 1905.

    Service Historique de la Défense de Brest : 23684
  • Au large de Concarneau, les Glénans, Camille de Montergon, 1957, Concarneau

    Archives départementales du Finistère
  • Philippe Viannay, Du bon usage de la France.

    Résistance, journalisme, Glénans. Paris, Ramsay, 1988.

  • FAUCHERRE, Nicolas, PROST, Philippe, CHAZETTE, Alain. Les fortifications du littoral. La Bretagne Sud. Chauray-Niort : éditions Patrimoine et Médias, collection : les fortifications du littoral, 1998, 279 p.

    Archives départementales du Finistère
  • LE POURHIET-SALAT, Nicole. La défense des îles bretonnes de l´Atlantique, des origines à 1860. Vincennes, Service Historique de la Marine, 1983, 375 p.

  • Christian Enjolras et André Juillard, Carnet des

    îles – L’archipel de Glénan, Douarnenez, Chasse-Marée, 2007.

  • Ecole

    de voile Les Glénans, Les Glénans, la

    passion en partage, Seuil, 2007.

  • Jean-Louis

    Goldschmid, 40 ans aux Glénans,

    Ouest-France, 2009.

Documents figurés

  • Carte des Isles de Glénan, fait à Brest le 29 octobre 1717 et signé par Robelin

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1VH 2227
  • Carte des Isles des Glénans tels qu'elles paroissent à la basse mer. Levée en présence de M. le Duc d'Aiguillon, Commendant en chef de la Province de Bretagne. Le 26 juillet 1755 par le Sr Villeminot

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1VH2227

Annexes

  • Rapport sur la défense de l'archipel des Glénans, 1857.
  • Décret du Ministère des Finances pour l'affectation du Fort au Ministère de l'Instruction Publique
  • Procès verbal de remise du Département de la guerre au Département de l'Instruction Publique des locaux et terrains du fort Cigogne
  • Chroniques des Glénans- crabes, homards, langoustes,
  • Plan Fort Cigogne 1756 - Jean-Pierre Wetzel, « Pourquoi et comment fut construit Fort Cigogne. 2-La réalisation », Glénans N°66, 1971, p. 18-19
  • Arrêté 07, classement au titre des monuments historiques du Fort Cigogne
  • Visite de la citerne et du système de récupération d'eau douce de Fort Cigogne-
  • L'atelier, Cigogne le cocon, rôles du matérialiste, l'héritage Glénan
  • L'ambiance de Cigogne-comparaison avec Bananec et Drenec - Quart de Fort Cigogne-
Date(s) d'enquête : 2014; Date(s) de rédaction : 2014, 2017