De la moitié du 19e au début 20e siècle :
À partir de la moitié du 19e et jusqu’au début du 20e siècle, la pointe de la Perrière devient un lieu dans lequel on se balade, se baigne mais aussi dans lequel on observe le paysage qu’offre la rade. La petite cale de Sainte-Catherine s’apparente à un modeste site balnéaire et un point de vue pour suivre les courses nautiques. En effet, les sociétés de régates se multiplient dans les années 1890. Les compétitions sont attrayantes et attirent de nombreux spectateurs. Lors des premières courses, les bateaux qui participaient étaient des bateaux de pêche ou encore des baleinières de la marine.
Inauguré en 1907, le casino se situait à proximité de l’embarcadère de la pointe de la Perrière. Cette construction était composée de quatre baies vitrées au rez-de-chaussée et sur sa terrasse. Cette dernière offrait un large panorama sur la rade, Kernevel et la citadelle de Port-Louis. Ce lieu était très fréquenté par la bourgeoisie lorientaise qui y venait pour observer des courses de régates ou pour écouter des concerts les jeudis et dimanches. Outre son café et son restaurant, on y retrouvait également un court de tennis et une plage privée équipée de cabine de bains et le siège de la société nautique. « Souvent les autorités les plus hautes du département les encourageaient de leur présence. Les plus belles et les plus célèbres se déroulaient à la Perrière et à la Trinité-sur-Mer, véritables préludes à nos courses transatlantiques actuelles". Le tramway, depuis le centre-ville, desservait l'avenue de La Perrière. Ensuite, les visiteurs empruntaient le « chemin du Bout du monde ». Ce chemin qui porte désormais le nom de rue du Bout du monde.
Un témoignage de 1910 éclaire sur cette période :
« C’est à la Perrière que nous nous baignons. On s’y rendait en tramway par une avenue (l’ancien grand chemin du bac de Sainte-Catherine), elle passait devant le cimetière et traversait Kergroise qui était encore un village à forte odeur de purin. Le tramway s’arrêtait au « Bout du Monde » ; le casino y occupait une terrasse faisant face à l’île Saint-Michel et à la petite cale ou accostaient les vedettes de Kernevel.»
Début 20e jusqu’au milieu du 20e siècle :
En 1919, le casino sert de maison de convalescence aux militaires américains. Suite aux travaux du nouveau port de pêche dans les années 1920, le casino est contraint d’évoluer. En 1923, il est devient un hôtel-restaurant, la terrasse qui jouxtait le bâtiment principal est couverte ; par la suite l'hôtel devient un café. En 1940, il est réquisitionné par les autorités allemandes. Au vu des dégâts qu’il subit lors de la Seconde Guerre mondiale, il est détruit au moment où la ville est reconstruite.
De la moitié du XIXe au début XXe siècle
Le casino est inauguré en 1907. Il se situe à proximité de l’embarcadère de la pointe de la Perrière. Cette construction est composée de quatre baies vitrées au rez-de-chaussée et sur sa terrasse. Cette dernière offre un large panorama sur la rade, Kernevel et la citadelle de Port-Louis. Ce lieu est alors très fréquenté par la bourgeoisie lorientaise qui y vient pour observer des courses de régates ou pour écouter des concerts les jeudis et dimanches. Outre son café et son restaurant, on retrouve également un court de tennis et une plage privée équipée de cabine de bains et le siège de la société nautique.
À partir de la moitié du XIXe et jusqu’au début du XXe siècle, la pointe de la Perrière devient un lieu dans lequel on se balade, se baigne mais aussi dans lequel on observe le paysage qu’offre la rade. La petite cale de Sainte-Catherine s’apparente à un modeste site balnéaire et un point de vue pour suivre les courses nautiques.
Les sociétés de régates se multiplient dans les années 1890. Les compétitions sont attrayantes et attirent de nombreux spectateurs. Lors des premières courses, les bateaux qui participaient étaient des bateaux de pêche ou encore des baleinières de la marine.
« Souvent les autorités les plus hautes du département les encourageaient de leur présence. Les plus belles et les plus célèbres se déroulaient à la Perrière et à la Trinité-sur-Mer, véritables préludes à nos courses transatlantiques actuelles. »
Afin de s’y rendre, il suffit de prendre le tramway depuis le centre-ville et cela jusqu’à l’avenue de la Perrière. Ensuite, les visiteurs empruntent à pied le « chemin du Bout du monde ». Ce chemin qui porte désormais le nom de rue du Bout du monde.
Un témoignage de 1910 éclaire sur cette période :
« C’est à la Perrière que nous nous baignons. On s’y rendait en tramway par une avenue (l’ancien grand chemin du bac de Sainte-Catherine), elle passait devant le cimetière et traversait Kergroise qui était encore un village à forte odeur de purin. Le tramway s’arrêtait au « Bout du Monde » ; le casino y occupait une terrasse faisant face à l’île Saint-Michel et à la petite cale ou accostaient les vedettes de Kernevel...»
(à revoir...texte de Soazig/autres)
• Début XXe jusqu’au milieu du XXe siècle
En 1919, le casino sert de maison de convalescence aux militaires américains. À partir des années 1920, débutent les travaux du port de pêche. Face à cette évolution, le casino de la Perrière est contraint d’évoluer. En 1923, il est devient un hôtel-restaurant. La propriétaire décide de couvrir la terrasse qui jouxtait le bâtiment principal. L’hôtel devient par la suite un café.
En 1940, il est réquisitionné par les autorités allemandes. Au vu des dégâts qu’il subit lors de la Seconde Guerre mondiale, il est détruit au moment où la ville est reconstruite.
• De la moitié du 19e au début 20e siècle
Le casino est inauguré en 1907. Il se situe à proximité de l’embarcadère de la pointe de la Perrière. Cette construction est composée de quatre baies vitrées au rez-de-chaussée et sur sa terrasse. Cette dernière offre un large panorama sur la rade, Kernevel et la citadelle de Port-Louis. Ce lieu est alors très fréquenté par la bourgeoisie lorientaise qui y vient pour observer des courses de régates ou pour écouter des concerts les jeudis et dimanches. Outre son café et son restaurant, on retrouve également un court de tennis et une plage privée équipée de cabine de bains. À partir de la moitié du 19e et jusqu’au début du 20e siècle, le casino de la Perrière devient un lieu dans lequel on se balade, se baigne mais aussi dans lequel on observe le paysage qu’offre la rade. Cette petite cale devient très rapidement un site balnéaire.
Afin de s’y rendre, il suffit de prendre le tramway depuis le centre-ville et cela jusqu’à l’avenue de la Perrière. Ensuite, les visiteurs empruntent à pied le « chemin du Bout du monde ». Ce chemin qui porte désormais le nom de rue du Bout du monde.
Un témoignage de 1910 permet de donner plus de visibilité sur le chemin qui était parcouru par les Lorientais pour se rendre au casino de la Perrière :
« C’est à la Perrière que nous nous baignons. On s’y rendait en tramway par une avenue (l’ancien grand chemin du bac de Sainte-Catherine), elle passait devant le cimetière et traversait Kergroise qui était encore un village à forte odeur de purin. Le tramway s’arrêtait au « Bout du Monde » ; le casino y occupait une terrasse faisant face à l’île Saint-Michel et à la petite cale ou accostaient les vedettes de Kernevel...»
• Début 20e jusqu’au milieu du 20e siècle
En 1919, le casino sert de maison de convalescence aux militaires américains. À partir des années 1920, les travaux du port de commerce débutent. Face à cette évolution, le casino de la Perrière est contraint d’évoluer. En 1923, il est devient un hôtel-restaurant. La propriétaire de l’époque décide de couvrir la terrasse qui jouxtait le bâtiment principal. L’hôtel devient par la suite un café.
Avant de disparaitre, il est également le siège de « La Société Nautique ». Les sociétés de régates se multiplient dans les années 1890. Les compétitions sont attrayantes et attirent de nombreux spectateurs. Lors des premières courses, les bateaux qui participaient étaient des bateaux de pêche ou encore des baleinières de la marine.
« Souvent les autorités les plus hautes du département les encourageaient de leur présence. Les plus belles et les plus célèbres se déroulaient à la Perrière et à la Trinité-sur-Mer, véritables préludes à nos courses transatlantiques actuelles. »
En 1940, il est réquisitionné par les autorités allemandes. Au vu des dégâts qu’il subit lors de la Seconde Guerre mondiale, il est détruit au moment où la ville est reconstruite.